Parce qu’en immobilier il faut s’éveiller à son environnement, Laurent Parisot s’est prêté à une aventure toute particulière mêlant sa passion du Vélo à la découverte du patrimoine local. Né en Meuse, l’enfant du pays souligne : “Le cadre de vie dans cette région est idyllique, mais tout le monde ne le sait pas”. C’est pourquoi, à l’occasion du tour de France, ce format inédit met en lumière étape par étape les richesses offertes par ce territoire. Retrouvez dans cet article les temps forts de cet événement.

Un cadre propice à l’évasion

Rêver sans limite, voilà une promesse tenue au travers de ce format inédit, la Meuse à Vélo. Au fil des kilomètres, les paysages, les rencontres et les lieux présentés, montrent un département authentique. Toujours en quête de nouveaux challenges à relever, celui qui arpente la Meuse depuis bientôt 12 ans à la recherche du bien idéal pour ses clients a fait le choix de valoriser sa région et d’en explorer tout le potentiel. Si l’idée est de promouvoir une qualité de vie incomparable grâce à un patrimoine riche et des espaces verts uniques, les deux premiers épisodes de ce format soulignent l’importance de prendre conscience de son environnement et d’en apprécier chaque rencontre. 

Déterminé à séduire celles et ceux qui recherchent à la fois un lieu de vie apaisant et dynamique, Laurent Parisot propose dans ce premier épisode de partir à la découverte des trésors cachés sur les côtes de Meuse. C’est avec un panorama à couper le souffle, sur les hauteurs de Monsec que démarre cette épopée cycliste. Le Mémorial Américain de la butte de Montsec, érigé en 1932 par les Etats-Unis, témoigne d’une histoire qu’il faut préserver et qui rappelle à chacun l’importance des moments présents. Un lieu incontournable, fort d’une architecture particulièrement impressionnante. Au rythme des arbres qui défilent, c’est à Vigneulles-lès-Hattonchâtel que se déroule la deuxième étape de ce parcours. En effet, le château construit au 9e siècle apporte toutes ses lettres de noblesse au bassin meusien. Désormais classé monument historique, ce bâtiment d’exception abrite un hôtel restaurant de standing idéal pour une escapade romantique ou un moment de détente en famille.

Si les rencontres sont essentielles, celle de Patrick, le propriétaire du bar L’air Du Moulin intrigue dès le premier regard par sa sincérité. Le bistrot-brocante propose une véritable immersion dans le temps en dégustant la spécialité, l’hypocras, une décoction de vin aux notes délicates de gingembre. L’échange et le partage sont les maîtres mots de ce lieu insolite qui accueille les visiteurs en chanson. Comme dans tout challenge sportif, La Meuse à Vélo nécessite une halte gourmande. C’est à Heudicourt-Sous-Les-Côtes, sur la terrasse de la Maison Drapier que Laurent Parisot a pu déguster un soufflé glacé à la mirabelle, faisant ainsi la connaissance de restaurateurs passionnés qui mettent à l’honneur des produits du terroir dans un cadre lumineux et soigné. Ce premier parcours s’achève au lac de Madine au sein duquel espaces de loisirs et zones aquatiques procurent un vrai moment d’évasion, permettant de conclure la vidéo avec pour note de fin : “C’est en s’ouvrant à ce que l’on a autour de soi, que l’on apprend à en apprécier chaque richesse”.

Un patrimoine culturel fort

Le second épisode retrace les étapes clés sur la route de Commercy à Saint-Mihiel. C’est en prenant de la hauteur avec le château Stanislas que cet épisode démarre. Apportant toutes ses lettres de noblesse à la ville, le château autrefois réputé comme l’un des plus beaux domaines de chasse de France est désormais classé monument historique. Ponctuée d’anecdotes, cette étape propose un voyage dans le temps sur les pas du duc de Lorraine. 

Laurent Parisot foule ensuite la piste du vélodrome de Commercy, construit sur l’ancien champ de foire aux bestiaux en 1895. Celui-ci accueille des compétitions nationales et internationales et rayonne par la couleur rosée de sa piste si particulière. Reprenant la route, c’est à Boncourt-Sur-Meuse que Philippe, trufficulteur, dévoile les secrets de l’or noir, la truffe. La Meuse était la première région productrice de truffes au 17e siècle. Avec un sol adapté, celle-ci offre aux amateurs de gastronomie un produit d’exception aux propriétés uniques au monde. 

Si la truffe a plus d’un tour dans son sac, c’est la madeleine, emblème du patrimoine culinaire meusien, qui se prête au ravitaillement. Laurent Parisot raconte alors la légende qui entoure cette pâtisserie. Ainsi, la recette de ce gâteau traditionnel aurait été inventée en 1755 par Madeleine, jeune cuisinière au château, sauvant alors le roi d’un moment de gêne et auquel celui-ci aurait donné son prénom en remerciement. C’est en longeant le bois d’Ailly que prend fin cet épisode. Nous y découvrons la Tranchée de la Soif connue pour avoir été l’un des théâtres de la première guerre mondiale. Ce monument tire son nom de l’expérience vécue par les hommes du commandant d’André, qui pendant deux jours ont manqué de nourriture et d’eau. Un lieu historique témoignant d’un patrimoine fort qu’il nous faut préserver.

Une aventure à taille humaine

Si le Tour de France touche à sa fin en juillet, le Tour de Meuse à Vélo nous réserve encore bien des surprises avec de nombreux territoires à découvrir. Le contexte particulier rappelle que les lieux de vie sont particulièrement importants. Cherchant à valoriser un territoire qui regorge de trésors ne demandant qu’à être découverts, ce format dresse le portrait d’une région insolite au sein de laquelle il fait bon vivre. La Meuse à Vélo a été l’occasion pour Laurent Parisot d’aborder sa région natale avec un œil nouveau afin de partager avec chacun une aventure humaine inédite. Des souvenirs à se remémorer en attendant, qui sait, un futur épisode.

Pour en savoir plus sur Laurent Parisot, le défi de l’excellence : https://www.meuse-immo.fr/le-defi-de-lexcellence/

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